« "C'est un point positif que la fiscalité n'ait pas été drastiquement modifiée, car le marché de l'assurance vie est extrêmement fragile. En cas de rachats massifs, cela mettrait de nombreux acteurs en difficulté, à tel point que la garantie en capital des fonds en euros pourrait même ne plus être assurée. C'est d'ailleurs ce qui avait failli arriver en 2008", rappelle Cyrille Chartier Kastler, fondateur du cabinet Facts & Figures. »